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L'IRSN (archives)
Plus de 30 000 paratonnerres à tête radioactive ont été installés sur les toits des édifices. Le risque d’exposition externe ou de contamination est négligeable tant que le paratonnerre reste en place, hors de portée et en bon état.
La France n’a pas mis en œuvre de programme de récupération systématique des têtes incriminées. C’est le rôle d’entreprises spécialisées autorisé par l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN).
Têtes en l’air, yeux à l’affût, appareils photos en bandoulière, plus de 200 « chasseurs volontaires » parcourent la France depuis mars 2011. Citoyens bénévoles, ils contribuent à l’Inventaire national des paratonnerres radioactifs (Inaparad), créé par Jean-Christian Tirat, journaliste et photographe toulousain.
Le collège Condorcet à Dourdan, dans l’Essonne, était l’un des nombreux endroits en France concerné par la présence d’un paratonnerre à tête radioactive. À la fin 2016, une entreprise autorisée par l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) est intervenue pour enlever et évacuer l’équipement.