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L'IRSN (archives)
Au Japon, une association de citoyens, « Ethos à Fukushima », tente d’améliorer le quotidien des habitants dans les territoires contaminés. Ryoko Ando, habitante d’Iwaki qui l’a créée, partage son expérience avec Ryugo Hayano, professeur de physique à l’université de Tokyo, qui participe à une initiative internationale mettant en relation la société civile et des scientifiques.
Peut-on sensibiliser le public aux problématiques scientifiques à travers l’art ? En créant des œuvres pour l’exposition "Vous avez dit radioprotection ?", Piet.sO, plasticienne, a accepté de relever ce défi. Retour sur cette collaboration avec l’artiste et Catherine Luccioni, conseillère scientifique.
Les unités de radiothérapie peinent à répondre à l’obligation de mener une étude des risques encourus par leurs patients, imposée à la suite des accidents d’Épinal (Vosges) et de Toulouse (Haute-Garonne)
L’exposition des patients aux rayonnements ionisants liés au diagnostic médical est une question dont se préoccupent l’Institut et l’INVS. À l’occasion de la publication du rapport Expri, traitant de ce sujet et réalisé conjointement par les deux organismes, Bernard Aubert et le Dr Hubert Ducou le Pointe donnent leur avis.
Les attentes du grand public en matière d’information sur le nucléaire font l’objet d’études. Pour les connaître et trouver la meilleure façon de les satisfaire. Un sociologue et le directeur de la stratégie de l’Institut partagent leurs expériences et leurs visions, entre théorie et pragmatisme.
La radioactivité et le nucléaire ne sont pas des sujets prioritaires pour les jeunes en France. L’exposition Gafforisk circule dans les établissements scolaires pour informer sur les risques et les attitudes à adopter en cas de crise. Échanges entre une formatrice en risques majeurs et un responsable d’études en sûreté.
Environ 200 lycéens ont participé en 2009-2010 aux ateliers de la radioprotection coorganisés par l’IRSN et deux autres partenaires. Deux enseignantes d’un lycée francilien et une experte de l’Institut débattent sur l’importance de cette démarche dans l’enseignement.
De l’image de la science aux conditions de travail, le métier de chercheur a beaucoup changé depuis les années 1950. Hélène Langevin-Joliot et Alexandra Moignier en débatent
Faibles doses de rayonnements ionisants : que révèle la recherche en épidémiologie ?
En quoi les enseignements font-ils avancer la sûreté ? Comment les optimiser ? Quelles stratégies adopter dans un contexte international ? Regards croisés et projections de représentants de deux secteurs où la sécurité est primordiale : l’aéronautique avec Airbus et le nucléaire avec l’IRSN.
Les analyses contestées des retombées de l’accident de Tchernobyl en France ont fait entrer l’information sur le nucléaire dans l’ère du soupçon. La loi de 2006 relative à la transparence et à la sécurité en matière nucléaire a-t-elle changé la donne ?
L’impact environnemental de l’extraction d’uranium fait l’objet d’une attention particulière au sein du Groupe d’expertise pluraliste (Gep) sur les sites miniers d’uranium du Limousin. Une démarche qui prend souvent la forme d’un débat animé entre experts de diverses origines, dont ceux d’associations locales.
Deux spécialistes venus de Suisse et du Canada ont échangé sur les politiques de prévention vis-à-vis du radon et sur les travaux d’atténuation pratiqués par les professionnels du bâtiment. Regards croisés depuis la conférence internationale « Radon et société » organisée en avril 2013 à Paris.
Safecast : après l'accident de Fukushima, les citoyens mesurent eux-mêmes la radioactivité
Exposés aux rayonnements ionisants, cardiologues et radiologues interventionnels risquent une cataracte. Abaisser la limite de dose au cristallin de 150 à 20 mSv par an, comme le recommande la CIPR 2, soulève des questions. Aperçu avec une personne compétente en radioprotection et une scientifique de l’Institut.
Comment gérer un territoire contaminé à la suite d’un accident nucléaire ? Comment s’y préparer ? Shoji Nishida, maire de Date, ville située à 60 km de Fukushima-Daiichi (Japon), et Jean-Pierre Charre, vice-président de l’Association nationale des comités et commissions locales d’information (Anccli) qui a administré une commune localisée à 3 km du site de Marcoule (Gard), partagent leurs expériences.
Les études épidémiologiques autour des centrales sont censées répondre aux questions de la société. Y parviennent-elles ? Regards croisés d’un élu de la Drôme, département fortement nucléarisé, et d’un scientifique épidémiologiste de l’Institut.
Les sciences humaines peinent à s’imposer face aux « sciences dures ». Geneviève Baumont, de l’IRSN, et Tanja Perko, du Centre de recherche nucléaire belge (SCK-CEN), travaillent à modifier ce déséquilibre. Leurs analyses sont susceptibles d’éclairer les politiques publiques d’information et de changer le regard que les citoyens portent sur le nucléaire.
Les niveaux de référence diagnostiques (NRD) participent à l’optimisation des pratiques radiologiques pour les praticiens. Celle-ci est freinée par les limites techniques et humaines et le manque de remontée des données dosimétriques. Réactions d’un président de syndicat professionnel français et d’un expert en radioprotection d’une autorité belge.
L’IRSN a largement contribué à la prise de conscience du risque lié au radon en France, notamment auprès des pouvoirs publics. Deux experts de l’Institut s’expriment sur ce qui fait encore débat.
Face à la crise de Fukushima, l’IRSN a déployé un vaste dispositif d’information du grand public. Les Français ont notamment pu suivre en temps réel les mesures de radioactivité sur le territoire. Trois experts, un indépendant et deux de l’IRSN, reviennent sur les messages délivrés.
En recherche environnementale, il existe deux approches : l’analytique qui s’appuie sur l’acquisition des données à l’échelle de l’individu et la systémique reposant sur une évaluation des écosystèmes dans leur ensemble. Ces démarches bien distinctes soulèvent la controverse. État des lieux en compagnie de deux scientifiques en radioécologie, l’une canadienne et l’autre français.
Regards croisés de militantes : L’ouverture à la société civile passe aussi par la mise en place d’un dialogue entre institut public et associations. Deux membres d’associations, issus de la santé et de l’environnement, débattent.
La catastrophe japonaise de mars 2011 interpelle les Français sur la sûreté des centrales nucléaires du pays face à un tremblement de terre. Deux spécialistes s’expriment sur l’évaluation du risque.
En 2005, l’IRSN a mis en service Siseri (Système d’information de la surveillance des expositions aux rayonnements ionisants). Cet outil centralise, consolide et conserve l’ensemble des résultats des mesures individuelles des travailleurs. Trois ans après sa mise en place, qu’en pensent les principaux protagonistes ? Pascale Scanff, de l’IRSN, a rencontré Élisabeth Depezeville, médecin. Débat.